
Nouvelle expérience : cette saison, poussée par le réchauffement climatique et stimulée par la visite du jardin sec de Marguerite (Le jardin de Marguerite à Plobsheim), je commence à implanter des plantes résistant à la sècheresse dans l’espace gravillonné très ingrat qui sillonne entre le jardin d’ombre et le jardin méditerranéen. Deux pieds de lavandes, implantés il y a quelques années s’épanouissent déjà dans ce même sol gravillonné et m’encouragent dans la démarche.

À l’intérieur, les boutures de patates douces se portent bien

En revanche, je me suis fait avoir par les premières chaleurs et j’ai sorti une dizaine de pots qui encombraient mon bureau pour les mettre en serre (non chauffée). Eh bien, c’est mort ! Je ferai mieux l’année prochaine…